L’âge de l’enfant

Il existe une multitude de marques qui commercialisent des motos électriques. Par exemple, vous pouvez en trouver un large choix chez Purerider. Concernant les modèles pour enfants, afin de vous aider à vous y retrouver, tenez compte de l’âge de votre enfant. En effet, chaque tranche d’âge détient des modèles avec des particularités différentes :

• Pour les enfants de 2 à 6 ans, optez pour une moto électrique rechargeable de 6 V avec une autonomie de 2 heures ;
• Pour ceux à partir de 6 ans, choisissez des modèles plus sophistiqués dont la puissance ne dépasse pas les 36 V.

Les besoins de l’enfant

Certains modèles de moto électrique pour enfant sont purement et simplement des jouets, tandis que d’autres offrent à votre progéniture la même sensation que s’il roulait sur une vraie moto électrique. Le choix vous revient donc : souhaitez-vous garder l’aspect ludique ou l’entraîner à être un biker ? Selon la réponse, vous sélectionnerez plus facilement le modèle ainsi que les accessoires de la moto.

Le design de la moto

Que ce soit uniquement pour du « fun » ou pour initier votre enfant à la conduite d’un deux-roues, le design reste un élément important dans le choix de la moto électrique pour enfant.

Choisissez-en un qui correspondra à sa personnalité au niveau de la couleur et de la morphologie. Par exemple, achetez un scooter ou une moto électrique rose ou rouge bordeaux pour une fille et un bleu ou un noir pour un garçon. Sinon, vous avez également la possibilité de personnaliser la moto, en ajoutant des détails. Toutefois, cette prestation sera facturée et constitue une dépense de plus.

Les priorités

Vous devez vous rappeler que plus le moteur d’une moto est puissant, plus celle-ci consomme. Donc, pesez le pour et le contre par rapport aux dépenses et à vos revenus. Une de vos priorités sera de rechercher un engin dont le moteur ne consomme pas trop mais solide. Une moto écologique sera meilleure étant donné que vous allez beaucoup vous déplacer. Il est conseillé de choisir un moteur facile d’entretien et qui ne s’use pas trop vite, comme par exemple, un moteur 4T. Evidemment, il ne faut pas oublier certains accessoires qui sont très importants pour un coursier, notamment le top-case. Veillez à ce que le siège soit confortable parce que vous allez passer de nombreuses heures dessus.

Quelle moto prendre ?

La moto que vous allez choisir dépend de l’usage que vous allez en faire, aussi, c’est ce que vous devez bien définir à l’avance. Choisissez entre un scooter 50 cm3 et 125 cm3 ou plus, c’est adapté à votre travail. Les motos grosses cylindrées ont l’avantage d’être bien plus fiables et bien plus confortables. Vous devez également penser à la sécurité, votre choix devra donc s’orienter vers une moto assez puissante mais surtout stable. La Gilera Runner ou la Peugeot Elyseo pourrait faire l’affaire si vous cherchez du 50 cm3. Si vous préférez du 125 cm3 ou plus, la Cygnus X de Yamaha, une Silverwing 400 de Honda ou encore une Goldwing 400 toujours de Honda peuvent répondre à vos attentes.

Plus rapide

Les transports à deux-roues sont plus rapides et permettent de se faufiler facilement lors des embouteillages en ville. Apparemment, une étude réalisée en 2011 a prouvé que les trafics seront réduits à 40 % si 10 % des conducteurs remplaçaient leurs voitures par des transports à deux-roues. Dans quelques pays du monde, comme en France, le transport avec les taxis motos connaît un grand succès, car ce sont de véritables moyens de déplacement qui s’adaptent à la routine quotidienne ou les simples activités touristiques.

Plus économique

Bien évidemment, vous allez dépenser moins en conduisant des deux-roues que de conduire une voiture. Moins de dépenses en entretien de bases, en entretien esthétique ou en lavage, car généralement, tout cela peut se faire en « self-maintenance ». Et pour le cas de la bicyclette, vous allez absolument oublier votre dépense en carburant.

Moins polluant

Les véhicules à deux-roues produisent en moyenne près de 120 grammes de CO₂ par kilomètre contre environ plus de 250 grammes par kilomètre pour les voitures. En effet, il est de votre devoir de bien entretenir votre moto pour qu’elle émette le minimum de substances nocives pour l’environnement.

Le calcul du coût de la carte grise

Pour déterminer le prix de la carte grise, il faut faire la somme de plusieurs taxes. Il y a exactement cinq taxes dont :
– la taxe régionale « Y1 » correspond au produit du montant du cheval fiscal et le nombre de chevaux fiscaux de la voiture.
– la « Y2 » correspond à la taxe professionnelle forfaitaire qui concerne les véhicules utilisés à titre professionnel pour une entreprise.
– la taxe sur le CO2 a été mise en place pour sensibiliser les conducteurs à opter pour l’utilisation de véhicules moins polluants.
– la taxe forfaitaire de gestion « Y4 » regroupe les frais de gestion pour l’élaboration de la carte grise. Il est à noter que toutes les taxes sont arrondies à l’euro le plus proche.
– À toutes ces taxes, il faut aussi ajouter la redevance d’acheminement « Y5 » qui correspond aux charges pour l’envoi du document au domicile de son détenteur. C’est ce total-là qui donne le coût de la carte grise.
Calculer le coût de la carte grise peut sembler difficile pour certains. Si c’est votre cas, découvrez le prix de votre carte grise en vous rendant sur ce site. Connaitre le prix de votre carte grise ne vous prendra alors que quelques minutes.

Le règlement du coût de la carte grise

Grâce à la digitalisation des services publics, il est désormais possible de demander sa carte grise en ligne sur le site de l’Agence Nationale des Titres Sécurisés. Dans ce cas, vous n’avez qu’un seul moyen de règlement : la carte bancaire. Il est possible de faire la demande de sa carte grise auprès d’un professionnel de l’automobile. Attention, celui-ci doit avoir l’habilitation du ministère de l’Intérieur. Dans ce cas, vous pouvez régler le coût de la carte grise par carte bancaire ou par chèque.
Il est à noter que pour les deux roues de moins de 50 cm3, la carte grise est gratuite.

Pot d’échappement et performance du pit bike

C’est par le pot d’échappement que les gaz de combustion traversant le moteur du pit bike sont évacués. Au niveau design, il existe plusieurs modèles de pot d’échappement, dont celui à double sortie. Ce dernier est très prisé de ceux qui veulent donner à leur mini-moto une allure dirt bike de compétition. Vous trouverez plusieurs pots d’échappement sur https://www.wkx-racing.com/139-echappement-pit-bike-dirt-bike. Cette boutique propose également des pièces de rechange au cas où le pot d’échappement est endommagé au niveau de l’un de ses composants. Au passage, sachez que le pot d’échappement est constitué du collecteur d’échappement et du silencieux d’échappement, deux pièces qui revêtent une grande importance dans le fonctionnement technique de la moto.

Le collecteur d’échappement

L’aventure pit bike ne date pas d’aujourd’hui. Cette moto a une histoire que vous pouvez lire ici. Mais être passionné de conduite ne devrait pas suffire. Maîtriser le pit bike passe également par l’acquisition de savoirs techniques. Et, connaître le rôle ainsi que la composition du pot d’échappement fait partie de ces connaissances à acquérir. La raison est simple : lorsqu’il est endommagé, le pot d’échappement peut sévèrement handicaper les performances du pit bike. Il s’agit alors de repérer plus ou moins d’où vient la panne. Celle-ci peut provenir du collecteur d’échappement situé entre la culasse du moteur et le silencieux d’échappement. Il est nécessaire que le collecteur soit parfaitement étanche (il ne faut pas qu’il y ait fuite de gaz), d’où la présence du joint d’échappement placé du côté culasse.

Le silencieux d’échappement

Le silencieux d’échappement est également désigné par « cartouche d’échappement ». Cette pièce est plus communément appelée « silencieux ». Il n’est pas très difficile, même aux plus profanes des profanes, de deviner plus ou moins le rôle de la cartouche d’échappement. Il s’agit d’instaurer le silence ! Vous avez sans doute déjà entendu des motos qui font du bruit infernal lorsqu’on les allume ou lorsqu’elles roulent. Eh bien, sachez que sans le silencieux, ce bruit, ou plutôt ce vacarme, serait encore plus fort, plus assourdissant. Sur un pit bike, d’où vient ce bruit ? Il provient des gaz d’échappement, plus exactement, c’est un bruit qui se produit à chaque explosion du mélange air essence lors du cycle de fonctionnement du moteur. Le silencieux va abaisser significativement ce bruit et il l’abaisse durablement. Le silencieux d’échappement renferme une laine de roche. C’est cette matière qui l’aide, en grande partie, à accomplir sa « mission ». Ceux qui veulent augmenter les performances du silencieux peuvent recourir en plus à une pièce appelée bride sonore. Grâce à cette dernière, l’expulsion du gaz d’échappement sera pratiquement silencieuse.

Fixation du pot d’échappement

Le pot d’échappement est adossé à la boucle arrière du cadre du pit bike. Et, pour qu’il soit parfaitement immobilisé même sur les pistes terriblement accidentées, le pot d’échappement est attaché à la boucle avec une bride d’échappement. Cette dernière est placée au niveau du silencieux d’échappement.

Quel budget prévoir ?

Sans parler de l’achat de la moto et le prix du permis, disposer d’un deux-roues requiert un budget conséquent en frais annexes, notamment sur :

• Les équipements : casque moto (obligatoire), gants (obligatoire avec certification CE), chaussures spéciales, blouson.
• L’assurance : la souscription est assez onéreuse selon la catégorie de la moto et le niveau d’expérience du conducteur, surtout s’il est débutant.
• La carte grise
• L’entretien : son prix dépend également du modèle de moto.

L’ergonomie

Imaginez que vous portez des chaussures qui ne sont pas à votre pointure. Soit elles sont trop petites et vous vous retrouverez avec des pieds gonflés après, soit elles sont trop grandes et vous feront ressembler à Charlie Chaplin. Il est en de même pour une moto. Quoi qu’il en soit, il est recommandé d’opter pour un modèle qui s’adapte parfaitement à votre morphologie et vos capacités physiques. La meilleure solution pour avoir l’esprit tranquille est de faire un test avant l’achat.

Les types de moto

Loin d’être moins importante, la catégorie de moto influence largement son prix. Mais pas seulement puisque certains modèles ne sont pas compatibles à tout le monde et à son permis. Pour les novices, une moto basique-utilitaire fera parfaitement l’affaire. Généralement proposé en petite et moyenne cylindrée, ce modèle est économique, maniable, et convient parfaitement aux trajets quotidiens urbains : scooter entre 80 à 250 cm3, moto Trail et 125 cm3. Quant aux habitués et professionnels de deux-roues, ils peuvent opter pour une moto GT, un Roadster, un Custom, une sportive, un Supermotard… Ici, tout est question de goût et de budget.

La pression de gonflage

La pression de gonflage joue un rôle très important sur la durée de vie de vos pneus. La vérification de cette pression doit se faire à chaque variation de température ou bien, chaque mois. Il est nécessaire que vous ayez votre propre compresseur. L’idéal pour vérifier la pression de gonflage est de le faire quand vous pneus sont encore froid, c’est-à-dire avant de partir. Sachez que le sur-gonflage et le sous-gonflage ont des effets néfastes sur vos pneus. Pour garder une bonne pression de gonflage également, il faut que vous vérifiiez les valves de vos pneus pour ne pas laisser sortir l’air.

La révision mensuelle

Vos pneus doivent être révisés minutieusement chaque mois pour les garantir une meilleure durée de vie. Pour cela, il faut d’abord vérifier leur pression de gonflage à l’aide d’une jauge. Il faut ensuite vérifier la bande de roulement pour vérifier tous les signes d’usures. N’oubliez pas, également de surveiller toutes les petites choses qui peuvent provoquer des fuites au niveau des pneus comme des cailloux ou des morceaux de verres incrustés.

L’interversion des pneus

La permutation des pneus permet de les donner une usure uniforme pour prolonger leur durée de vie. Cette interversion doit se faire à chaque 10.000 km environ. Ceci doit se faire en suivant les consignes inscrites dans le manuel de votre voiture.

La réparation des pneus

Pour n’importe quel problème à propos de vos pneus, il est nécessaire de toujours les faire analyser et réparer par un professionnel pour éviter de causer encore plus de dégâts. D’autant plus que seul, un professionnel peut respecter les recommandations d’usine.